La France reste le premier consommateur de pesticides en Europe et le troisième au niveau mondial. Selon les informations recueillies par les équipes de Cash Investigation et de francetv info, près de 100 000 tonnes de pesticides très toxiques sont épandus en France dans les champs, les vignes ou les vergers. Sur la base de données confidentielles provenant du ministère de l’Écologie, Cash Investigation a identifié 71 substances jugées « dangereuses » ou « potentiellement dangereuses » par différents organismes [1]. C’est en Gironde, dans la Marne et en Loire-Atlantique qu’est épandue la plus grande quantité de pesticides (en noir sur la carte) [2] :
28/03/2016
Pour un revenu de base (suite)
Un rapport préconise la création d'un revenu universel en France.pdf
voir aussi sur ce blog la note du :
11/04/2012
et aussi :
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... et j'ai eu connaissance depuis peu de :
Montpellier - Mouvement Français pour un Revenu de Base
Archive du tag Montpellier. Stand du Revenu de Base au « Village des possibles » ... "Le revenu de base : un filet de sécurité pour la vie !" Tel est le thème de la ...
09:29 Publié dans Actualités, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Les Femmes au Bar des Sciences - à l’(S)PACE du Campus Triolet , Montpellier
« Femmes et sciences : une nouvelle donne ? » sera le thème du prochain Bar des sciences jeudi 31 mars à 18h30 à l’(S)PACE du Campus Triolet.
Aujourd’hui en France, alors que les filles sont presque à parité avec les garçons en Terminale S, seulement 25% des diplômes d’ingénieurs sont délivrés à des filles. Les études statistiques récentes montrent également que les femmes sont minoritaires dans l’enseignement supérieur et la recherche. Leur présence tend à se concentrer dans certaines disciplines et, plus on monte dans la hiérarchie des statuts, moins les femmes sont nombreuses.
Cette édition spéciale du Bar des sciences réunira :
Alain Foucaran – Directeur du Laboratoire IES (Institut d’Electronique du Sud)
Marthe Kalifa – Chargée de mission OSIPE UM (Observatoire du Suivi et de l’Insertion Professionnelle des Etudiants)
Pascale Perrin – Maître de conférences à l’UM (département Biologie-Ecologie) – Membre de l’association Femmes et sciences
Audrey Taillefer – Doctorante en géologie (Laboratoire Géosciences)
Elle vise à débattre de ce « gaspillage » des ressources intellectuelles féminines et à explorer les pistes pour y remédier.
le plan du Campus Triolet - Université de Montpellier
N. Avenue du. Pr. Émile Jeanbrau. Av. de l'Abbé Parguel. ENTRÉE. PRINCIPALE
09:14 Publié dans Actualités, Sciences, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
21/03/2016
Industries chimiques : leur lobbying nous coûte cher (en terme de santé)
... mais qu'importe, puisque ces industries produisent aussi les médicaments destinés à nous soigner.
(une population en bonne santé serait la pire des choses pour leurs bénéfices et leur classement au CAC 40)
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à lire sur :
« Ce qui apparaît comme le poste de dépense le plus important reste le traitement des maladies chroniques liées à l’exposition à ces substances, précise Thomas Guillemaud, chercheur à l’Institut Sophia Agrobiotech (INRA, CNRS, université de Nice-Sophia-Antipolis) et coauteur de l’étude. Mais il existe très peu d’études permettant de chiffrer précisément ces coûts sanitaires. On dispose de beaucoup de travaux sur l’exposition au tabac et à l’alcool et leurs effets, par exemple, mais presque rien sur les pesticides. »
Des études d’ampleur commencent toutefois à être menées, comme celle publiée en 2015 dans la revue Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism. Elle estimait les dégâts sanitaires de l’exposition de la population européenne aux seuls pesticides organophosphorés et organochlorés à quelque… 120 milliards d’euros par an.
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Et si les pesticides coûtaient plus qu’ils ne rapportent .pdf
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/03/19/et-si-les-pesticides-coutaient-plus-qu-ils-ne-rapportent_4886135_3244.html#0ugLrdeAXk1fgL3X.99
14:02 Publié dans Actualités, industrie chimique, lobbying, pollution, santé,sciences, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
18/03/2016
Profession : "élu du Peuple" ? (suite)
À la suite de la conférence ci-dessous, les personnes souhaitant poursuivre la réflexion à l'échelon local peuvent laisser un commentaire au bas de la note en indiquant SEULEMENT leur localité (pas de nom).
Je mettrai en relation les personnes habitant les mêmes localités.
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Jeudi 17 mars
MONTPELLIER « Oligarchie et citoyens »
Conférence -débat par Robert Charvin
20 h
salon du belvédère le corum. Par les amis du monde diplomatique
08:08 Publié dans démocratie, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
12/03/2016
l’Agglorieuse gagne son procès
lu sur :
HTTPS://WWW.MEDIAPART.FR/JOURNAL/FRANCE/110316/UN-JOURNAL-SATIRIQUE-DE-MONTPELLIER-BLANCHI-EN-CASSATION
Un journal satirique de Montpellier blanchi en cassation
11 MARS 2016 | PAR DAN ISRAEL
Condamné en 2014 à une très lourde amende pour diffamation, l'hebdo satirique L'Agglorieuse a vu cette condamnation annulée par la Cour de cassation. Le sérieux de son enquête est reconnu.
La mouette rieuse respire. Le volatile dont le journal satirique de Montpellier l’Agglorieuse a fait son emblème devrait pouvoir continuer à s’afficher en une des pages de l’hebdo local. Le 1er mars, la Cour de cassation a cassé le jugement de la cour d’appel de Nîmes datant de septembre 2014, qui condamnait la publication à 91 200 euros d’amende pour diffamation envers un promoteur immobilier local.
LIRE AUSSI
A Montpellier, la condamnation qui risque de couler un hebdo satirique
PAR DAN ISRAEL
Comme Mediapart l’avait raconté, la somme demandée correspondait à la moitié du chiffre d’affaires du journal, tiré à 2 300 exemplaires, et le menaçait d’une mort certaine. La cour d’appel jugeait que les termes « faillites retentissantes » et « ennuis judiciaires » utilisés dans l’article envers le promoteur n’avaient pas été justifiés par une enquête sérieuse et relevaient donc de la diffamation. « Nous acceptons les sanctions justes des erreurs que nous aurions pu commettre, mais en aucun cas que ces erreurs soient financièrement sanctionnées comme si nous étions des délinquants du CAC 40 », écrivait à l’époque le responsable du journal Tristan Cuche.
La Cour de cassation a jugé à l’inverse du tribunal de Nîmes, estimant que l’article relevait d’un « débat d’intérêt général » et procédait d’une « enquête sérieuse est justifiée ». L’arrêt de Nîmes est invalidé une fois pour toutes. La Cour
de cassation a pris la peine de rappeler que, selon la convention européenne des droits de l’homme, « le principe de la
liberté d’expression de
la presse, même s’il
n’est pas illimité, doit
être protégé », surtout lorsque les propos incriminés « étaient parus dans un journal “satirique” et qu’ils reposaient sur une base factuelle suffisante ». Pour la Cour,« L’Agglorieuse s'est conformé aux exigences de prudence dans l'expression et de sérieux » et « n’a pas excédé le ton des journaux satiriques et d’investigation ». Fermez le ban.
Lors de leur condamnation de septembre 2014, les journalistes soulignaient le fait que la magistrate qui les avait condamnés pouvait leur en vouloir personnellement, puisqu’elle leur avait déjà reproché publiquement un précédent article moqueur sur sa sévérité, laquelle avait pourtant déclenché une grève des avocats du Gard et du Vaucluse, en février 2012.
08:53 Publié dans information, justice, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
04/03/2016
Incroyable mais vrai : en France, interdiction de distribuer des tracts sans autorisation préfectorale
Peuple de France, ta Liberté fout le camp !
lu sur :
Poursuivi pour avoir distribué des tracts | L'Humanité
(les surlignages sont de moi)
Un militant CGT a été renvoyé devant les tribunaux par la cour de cassation, qui juge qu’une diffusion de tracts est illégale si elle n’a pas été déclarée en préfecture.
Nouveau coup contre l’expression des opinions dissidentes dans le pays. Le 9 février, la Cour de cassation a rendu un arrêt qui donne un sérieux tour de vis à l’action syndicale en jugeant qu’une simple distribution de tracts devient illégale si celle-ci n’est pas au préalable déclarée en préfecture. Alors qu’il avait été relaxé par le tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône puis par la cour d’appel de Lyon, Pierre Coquan, ancien secrétaire général de l’union départementale CGT du Rhône, s’est vu renvoyer devant la cour d’appel de Grenoble par la Cour de cassation pour avoir simplement organisé à un péage une distribution de tracts contre la réforme des retraites en 2010.
En assimilant cette action à une manifestation, soumise à déclaration préalable en préfecture, la Cour de cassation en profite pour encadrer un spectre très vaste d’actions militantes. « Constitue une manifestation (…) tout rassemblement statique ou mobile, sur la voie publique d’un groupe organisé de personnes aux fins d’exprimer collectivement et publiquement une opinion ou une volonté commune », pose l’arrêt. « Il n’existait pas jusqu’à maintenant de définition précise de ce qui constituait une manifestation, mais on voit que c’est à l’occasion de poursuites contre un militant syndical que la Cour juge nécessaire de donner une définition attrape-tout. C’est une décision liberticide qui pousse à rendre clandestine l’action syndicale la plus banale », dénonce Me François Dumoulin, l’avocat du syndicaliste. « C’est une atteinte très grave à la liberté d’expression collective », dénonce Pierre Coquan.
Outre l’impact très lourd que pourrait avoir cette décision de justice sur les pratiques quotidiennes des militants politiques et syndicaux, cette affaire révèle une fois de plus l’acharnement du ministère public à l’encontre des syndicalistes, pour Me Dumoulin : « C’est une affaire sans victime et sans partie civile, c’est le parquet qui a poursuivi tout du long. »
11:46 Publié dans Actualités, démocratie, justice, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
29/02/2016
Communiqué du collectif contre la gare TGV de Montpellier la Mogère
communiqué :
Collectif contre la gare TGV de Montpellier la Mogère - Communiqué du 26 février 2016
Le lundi 22 février 2016 a eu lieu une rencontre entre le « Collectif gare de la Mogère » et la Région Languedoc-Roussillon – Midi-Pyrénées, représentée M. Jean-Luc Gibelin, vice-président aux Transports, et un membre du cabinet de Mme Carole Delga.
Le Collectif a rappelé l’historique du projet de gare de la Mogère et les raisons de son opposition, et a appelé la Région à suspendre immédiatement les travaux afin d’éviter les conséquences désastreuses (pour les usagers comme pour la réputation des élus) qu’aurait l’achèvement de la construction d’une deuxième gare TGV sans correspondances ferroviaires.
M. Gibelin a assuré le Collectif que la Région applique d’ores et déjà un moratoire sur ses versements au titre de la deuxième gare TGV, et que cela sera réaffirmé lors de la prochaine ouverture des États Généraux du Rail. Il a invité le Collectif à participer à ces États Généraux.
Il faut accompagner le moratoire initié par la Région. Alors que la presse rappelle que les travaux se poursuivent, il est urgent que toutes les parties prenantes au projet de nouvelle gare TGV de Montpellier s’associent au moratoire initié par la Région.
D’une part, les « États Généraux du Rail » devraient aboutir à la conclusion que le contournement ferroviaire en construction entre Nîmes et Montpellier (CNM) n’a aucun besoin d’une nouvelle gare à Montpellier pour remplir ses fonctions. Laisser se poursuivre le chantier sans demander sa suspension effective revient à choisir le passage en force contre le respect de cette consultation, et à refuser d’attendre la réponse de la Justice aux recours déposés.
D’autre part, le moment est venu pour chaque partie de tenir compte de la nouvelle situation :
– La Métropole de Montpellier a déjà indiqué qu’elle ne financerait plus cette gare si la Région cessait ses versements, et que cette gare n’avait aucune justification si la gare de Manduel risquait de ne pas se faire. Ces deux conditions sont aujourd’hui réunies. À elle de confirmer publiquement qu’elle a mis en œuvre ce qu’elle a annoncé.
– La SNCF, maître d’ouvrage du projet (via SNCF Réseau), doit tourner la page des circonstances qui ont conduit à lancer simultanément la reconstruction de la gare Montpellier St-Roch et le projet de construction d’une nouvelle gare TGV sans correspondances.
– Le Préfet de l’Hérault doit tenir compte de cette nouvelle situation, alors que les perspectives de trafic voyageur grande vitesse sont actuellement revues à la baisse.
En arrêtant les travaux au plus tard à l’achèvement de la dalle de la gare, chaque partie pourra trouver une issue honorable. En premier lieu, la Métropole de Montpellier, dont le président a proposé publiquement dès septembre 2015 que la construction s’arrête à la dalle. Le budget économisé, sur la gare et son raccordement au tramway et à l’autoroute, permettrait à la Métropole de relancer des projets ajournés pour raisons budgétaires, comme la ligne 5 du tramway.
Quant à l’aiguillage de St-Brès, permettant de raccorder le contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier (CNM) à la gare St-Roch sans nécessité d’une nouvelle gare, il peut être immédiatement aménagé : les autorisations et le foncier sont déjà disponibles.
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08/02/2016
Chimie et environnement (suite)
lu sur :
Pourquoi le ministère de l'Agriculture continue-t-il d ... - Basta
Il y a 3 jours - Qu'en est-il des alternatives à ces molécules chimiques de ... Quant à l'
extrait :
L’enquête de Cash Investigation diffusée le 2 février rappelle un scandale sanitaire toujours à l’œuvre : les pesticides cancérigènes, mutagènes ou reprotoxiques qui sont déversés par milliers de tonnes chaque année, dans tous les départements. Qu’en est-il des alternatives à ces molécules chimiques de synthèse ? La loi d’avenir agricole de juillet 2014 devait favoriser la commercialisation des préparations naturelles comme le vinaigre blanc, le sucre ou l’argile. Or, le décret permettant leur mise sur le marché traîne au milieu des piles de dossiers du ministère... À ce jour, pulvériser sur ses cultures une tisane de plantes reste passible de poursuites. Quant à l’agriculture bio, sans pesticides, elle n’est pas suffisamment soutenue.
17:43 Publié dans Actualités, agriculture-chimie-pesticides, environnement, industrie chimique, lobbying, santé, Sciences, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
28/01/2016
État d'urgence et chaises de la BNP
à lire : (rien de mieux à faire ???)
Soutien aux 2 faucheurs de chaises marseillais convoqués ...
17 janv. 2016 - Soutien aux 2 faucheurs de chaises marseillais convoqués devant le ... midi et vont être convoqués au tribunal suite à la plainte de la banque.
Ce vendredi 15 janvier au matin, des policiers sont venus chercher à leurs domiciles Antoine Richard, militant d’Attac Marseille, et Matthieu Laurentin, président d’Attac Marseille, pour les placer en garde à vue. Ils ont été entendus dans le cadre de l’enquête menée suite aux deux actions de réquisition citoyenne qui ont eu lieu dans des agences BNP Paribas de Marseille en octobre et novembre dernier.
lire en ligne
12:50 Publié dans Actualités, Banques, police, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
24/01/2016
France : le " préjudice écologique " et la loi
10:55 Publié dans Actualités, démocratie, Nature/Environnement, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
06/01/2016
Changer l'Europe de la "concurrence libre et non faussée" (!)
info : Varoufakis s'apprête à lancer un "plan B" pour l'Europe
http://www.euractiv.fr/sections/europe-de-lest/varoufakis-sapprete-lancer-un-plan-b-pour-leurope-320708
L’ancien ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis prépare son retour à Paris et Berlin. Un article d’EurActiv Allemagne.
Yanis Varoufakis entend lancer une « troisième alternative » à la renationalisation et aux « institutions européennes antidémocratiques » dès le mois de février.
Cette initiative, Mouvement pour la démocratie en Europe 2025 (DiEM 2025), a pour objectif de rassembler des intérêts divers pour « démocratiser l’Europe et mettre un terme à la fragmentation rampante », selon le journal Neues Deutschland.
>> Lire : Varoufakis, le ministre des finances star de l'analyse économique
Yanis Varoufakis devrait donner le coup d’envoi officiel de ce nouveau projet le 9 février au théâtre Volksbühne, à Berlin, lieu de lancement de nombreux mouvements, notamment pour la chute du mur de Berlin.
L’ancien ministre des Finances avait déclaré à plusieurs reprises vouloir lancer un nouveau mouvement, et non pas un parti politique. Sa « troisième alternative » mettra en évidence les politiques et décisions néfastes adoptées par les États et les institutions européennes, qu’il juge profondément antidémocratiques.
Yanis Varoufakis, fervent opposant aux mesures d’austérité exigées par les créanciers d’Athènes, a démissionné à l’été 2015. Depuis, il participe régulièrement à des discussions qui tentent de trouver une alternative au retour à l’État-nation ou à l’écroulement de la zone euro. Si l’euro s’effondre et que la crise continue ad nauseam, cela entrainerait « désespoir, dépression et peur » et contribuerait à la réémergence de la renationalisation, de l’ultranationalisme et de la xénophobie, a-t-il averti lors d’un entretien accordé au journal espagnol El Diario.
>> Lire : À Frangy-en-Grèce, Varoufakis s’alarme du déficit démocratique de l’UE
En novembre, une réunion prévue sur « un plan B pour l’Europe » à Paris n’a pas pu avoir lieu, suite aux attentats terroristes. Elle a donc été reportée à janvier. Y participeront notamment Susan George, une activiste pour la justice sociale, Stefano Fassina, économiste et homme politique italien, et Oskar Lafontaine, ancien ministre des Finances allemand.
>> Lire aussi : Varoufakis : « les créanciers de la Grèce ont transformé les négociations en guerre »
PROCHAINES ÉTAPES
9 février 2015 : Lancement officiel du Mouvement pour la démocratie en Europe 2025 (DiEM 2025).
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Plan C: Varoufakis startet neue Bewegung in Berlin
Aktivisten-Netzwerk soll am 9. Februar gegründet werden / »DiEM 25« will als »dritte Alternative« zwischen Renationalisierungsirrweg und »anti-demokratischen EU-Institutionen« wirken
18:47 Publié dans Actualités, démocratie, Europe à 27, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
03/01/2016
Ôter aux banques leur pouvoir de création monétaire (suite)
À propos de la Suisse et ses initiatives populaire, voir aussi sur ce blog :
rappel de la note du :
11/04/2012
... MAIS C'EST EN SUISSE, PAS EN FRANCE, HÉLAS !
SUISSE & RÉGIONS
Un revenu de base de 2500 francs pour tous: l’initiative est lancée
Le texte pose le principe d’une allocation universelle. Inconditionnelle, elle doit permettre à chacun de vivre dignement
lu sur :
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/80349052-8348-11e1-8fee-0125137f3c88/Un_revenu_de_base_de_2500francs_pour_tous_linitiative_est_lanc%C3%83%C2%A9e#
Un revenu universel garanti, permettant à tous de «mener une existence digne». C’est ce que propose l’initiative «Pour un revenu de base inconditionnel», publiée mardi dans la Feuille fédérale.
Si le texte ne fait que poser le principe et laisse au législateur le soin de régler le financement et le montant de ce revenu, ses promoteurs ont une idée précise de ce qu’ils envisagent: entre 2000 et 2500 francs par mois, «de quoi libérer chacun de l’obligation de travailler pour gagner sa vie», explique l’ancien vice-chancelier de la Confédération, Oswald Sigg, membre du Comité d’initiative. «Devoir travailler pour survivre est une injustice, affirme-t-il. Certains n’ont pas de travail, d’autres ne font pas ce qui leur plaît, sont surmenés, stressés. L’idée est de réduire cette injustice et d’augmenter pour tous les chances de faire ce qu’ils veulent.»
Saugrenue pour beaucoup, l’idée n’est pourtant pas nouvelle. Ebauchée au XVIe siècle par Thomas More dans son Utopie, elle est reprise par quantité de théoriciens à travers l’Histoire, de Condorcet – qui pose le principe d’un revenu inconditionnel et suffisant pour tous – au Prix Nobel d’économie Milton Friedman et son «impôt négatif», allocation fixe couplée à l’impôt sur le revenu.
Soutenu en Suisse par le réseau BIEN-CH (Basic Income Earth Network), le revenu de base repose sur plusieurs arguments: en plus de découpler la couverture des besoins vitaux d’un travail rémunéré, il améliorerait l’efficacité de l’allocation des ressources – en se substituant pour partie à la galaxie des prestations sociales – et garantirait au citoyen l’autonomie de ses choix de vie. Cerise sur le gâteau, estime le réseau BIEN-CH, en «déconnectant les entreprises de leur obligation d’offrir des salaires suffisants», le revenu de base «flexibiliserait le marché du travail et engendrerait une nouvelle dynamique des activités économiques».
Problème: si chacun a droit à un minimum garanti, qui continuera de travailler? «Je ne pense pas que la collectivité travaillera moins, répond Oswald Sigg. Mais elle travaillera autrement, en accord avec les intérêts personnels et sociaux. Et ceux qui veulent gagner beaucoup continueront de travailler beaucoup.»
L’économiste vaudois Samuel Bendahan, socialiste, s’intéresse à l’idée depuis plusieurs années. Car selon lui, le revenu de base créerait «des incitations réelles»: «D’abord parce que de nombreuses études ont montré qu’on ne travaille pas pour l’argent mais par motivation intrinsèque, pour des causes ou pour des raisons sociales. Ensuite, parce que le revenu universel ferait disparaître les effets de seuil des prestations sociales. Actuellement, ceux qui sont à l’aide sociale et se remettent à travailler perdent le droit à certaines prestations. L’incitation au travail serait plus élevée avec un revenu universel. Enfin, si ce revenu était en place, plus personne n’accepterait les métiers ingrats. Cela obligerait donc l’économie à investir pour rendre ces métiers plus attractifs, ce qui rendrait plus juste le marché du travail.»
Samuel Bendahan prévient toutefois: «Il faut être conscient que cela modifierait drastiquement nos modes de fonctionnement. Avant de graver une telle idée dans la Constitution, il faut y avoir bien réfléchi. Parce que distribuer un tiers du PIB aux gens ne se fera pas sans augmenter massivement les impôts. De 30% aujourd’hui, la quote-part fiscale augmenterait au moins à 50%.» Faux, rétorquent les initiants: «Cela coûterait effectivement un tiers du PIB, soit environ 200 milliards, explique Oswald Sigg. Mais le revenu de base est en grande partie déjà financé si l’on réorganise l’Etat social, c’est-à-dire l’AVS, l’AI, etc. Et pour le reste, il y a plusieurs méthodes en discussion: hausse de la TVA, hausse de l’imposition des gros revenus et de la fortune, par exemple.» Des pistes auxquelles s’ajoutent d’autres possibilités, que les initiants ont détaillées dans un livre ad hoc*: une taxe sur les mouvements de capitaux, une taxe écologique, une réforme de l’impôt fédéral direct ou même la création de monnaie.
Le Comité d’initiative a 18 mois pour réunir 100 000 signatures et espérer que le peuple se prononce. Mais le principe d’un revenu de base fait déjà bondir les milieux économiques. «C’est une tromperie sur la marchandise, s’enflamme l’éditorialiste Beat Kappeler. Les nouilles ne tombent pas des arbres! C’est un mensonge que de prétendre que le pays continuerait de fonctionner avec un tel système. Et c’est une négation de ce qu’est l’Homme. La dignité, c’est aussi la capacité d’assurer seul sa subsistance, sans compter sur la collectivité. Quant au financement, c’est une plaisanterie: l’entrepreneur allemand Götz Werner, qui défend cette idée, admet lui-même que cela suppose un impôt de 50% sur le revenu de ceux qui continuent à travailler et une hausse de 50% de la TVA. Vous voyez ce qui reste…»*«Le financement d’un revenu de base inconditionnel», Ed. Seismo, Zurich, 2010.
------------
voir aussi sur ce blog :
14/12/2013
et ailleurs :
AIRE - Association pour l'Instauration d'un Revenu d'Existence
13:19 Publié dans Actualités, démocratie, Economie, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Ôter aux banques leur pouvoir de création monétaire
article de La Tribune :
Les Suisses voteront pour ôter aux banques leur pouvoir de création monétaire
.
La monnaie, qu'est-ce ? (2) note du 16/11/2008
La monnaie, qu'est-ce ? note du 14/11/2008
L'Argent Dette de Paul Grignon (FR intégral) 52 min - 21 oct. 2008 dailymotion.com
11:44 Publié dans Actualités, Banques, démocratie, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
02/01/2016
L'Arabie Saoudite, un pays tolérable ?
Saudi Arabia executes 47 people in one day including Shia ...
Il y a 1 heure - Scores of 'terrorists' put to death amid warning from Iran that executing prominent Shia cleric Sheikh Nimr al-Nimr would 'cost Saudi Arabia ...
extrait :
..."The executions are Saudi Arabia’s first in 2016. At least 157 people were put to death last year, a big increase from the 90 people killed in 2014. "...
09:43 Publié dans Actualités, Droits de l'Homme, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
26/09/2015
Dérives de la société contemporaine : un exemple, l'élevage industriel
un livre sur le sujet
Industrial farming is one of the worst crimes in history | Books | The ...
09:00 Publié dans agriculture, agroalimentaire, environnement, néolibéralisme, santé, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
17/09/2015
Politique professionnelle : par ici la bonne soupe !
lu sur le Canard de cette semaine
... achetez le Canard Enchaîné !
C'est pas cher : 1,20€ par semaine, et c'est plus instructif que d'autres journaux beaucoup plus chers !
12:06 Publié dans Actualités, démocratie, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
12/09/2015
Société et notion d'Humanité (suite)
À la base de la notion d'Humanité dans la société, il y a la religion, qu'on le veuille ou non.
Voilà pourquoi notre société doit éviter à tout prix de s'aligner le modèle anglo-saxon, où la Force prime le Droit et où la Nature peut être exploitée impunément car considérée comme un don de Dieu !
à lire sur The Guardiab :
America's dark and not-very-distant history of hating Catholics ...
4 hours ago ... Progressives and conservatives are in a rare unity welcoming Pope Francis to the US, but anti-Catholicism was rampant before John F ...
voir aussi sur ce blog la note du 8/6/2015 :
17:26 Publié dans Actualités, Economie, environnement, Politique, Religion, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
23/08/2015
OGM + pesticides = malformations fœtales
à lire sur :
Pesticides in paradise: Hawaii's spike in birth defects puts focus on ...
15:35 Publié dans agriculture-chimie-pesticides, Chimie, Environnement-Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
03/07/2015
Grèce : scrutin de dimanche - Tentatives de chantage
les surlignages sont de moi
lu sur :
Tsipras répond « oxi » aux tentatives de coup d'État financier
Athènes, envoyée spéciale.
Alexis Tsipras n’entend pas donner sa reddition face à la tentative de coup d’État financier en cours contre la Grèce. Il l’a répété hier après-midi, dans une adresse solennelle à la nation : il maintient le référendum. La veille, le premier ministre grec avait adressé aux créanciers d’Athènes une offre ultime, incluant, encore, de rudes concessions, comme la suppression progressive de l’allocation de solidarité pour les personnes âgées, mais conditionnée à un accord sur la restructuration d’une dette insoutenable. Athènes demandait, entre autres, un prêt de 29 milliards d’euros pour couvrir le service de la dette sur les échéances des deux prochaines années. La démarche visait à empêcher in extremis un défaut grec aux conséquences imprévisibles… Sans surprise, elle a été rejetée par les « partenaires », Allemagne en tête, ce qui place depuis hier la Grèce en situation de défaut vis-à-vis du Fonds monétaire international, fait inédit pour un pays de l’Union européenne. Pire, le Fonds européen de stabilité financière évoquait, en réaction au défaut, la possibilité de demander le paiement immédiat des prêts accordés à la Grèce. Intérêts compris.
« Ils ont fermé les banques parce que nous avons donné la parole au peuple »
Curieusement hier, la presse internationale faisait écho à la dernière offre grecque de compromis en la présentant comme la preuve de la « volte-face » d’un Tsipras prêt à renoncer au référendum pour se conformer enfin aux oukases des créanciers. Toute la journée, la rumeur d’un report, voire d’une annulation de la consultation populaire annoncée par Athènes a couru. Tsipras, placé dans l’impossibilité de verser les pensions de retraites et les salaires des fonctionnaires, cédant à la menace de la suspension par la Banque centrale européenne (BCE) du mécanisme ELA, dernier filet de refinancement de banques grecques, allait, c’est sûr, capituler en rase campagne, annonçaient, en chœur, les éditorialistes de la presse financière. Objectif : semer le doute et la confusion pour entraver la campagne du « non ». Certes, les canaux de discussions n’ont jamais été coupés, et surtout pas par la partie grecque qui, fidèle à la ligne choisie depuis l’invraisemblable expulsion du ministre des Finances Yanis Varoufakis de l’Eurogroupe, n’a jamais cessé de rechercher les termes d’un « accord honnête et durable ». « Un verdict populaire est beaucoup plus fort que la volonté du gouvernement. Lundi, après le référendum, nous serons à la table de négociation avec des conditions meilleures pour le peuple grec », a tranché Tsipras, coupant court aux conjectures. Aux manœuvres en cours, le premier ministre grec a répondu par des propos très durs contre le fanatisme néolibéral et le mépris de la démocratie régnant de Bruxelles à Berlin. « Ils ont fermé les banques parce que nous avons donné la parole au peuple. Jamais je n’aurais pensé que l’Europe puisse refuser de donner du temps et de l’espace à un peuple qui veut décider de son futur », s’est-il indigné.
« Pas de “oui”, pas de salaires, lundi », ose le patronat
Pour Athènes, par-delà les choix économiques et le désastre social laissé par cinq années d’austérité, c’est bien l’enjeu démocratique qui est, désormais, au cœur du bras de fer. « L’impasse créée par la stratégie d’asphyxie des institutions nous met devant une alternative mortifère. Soit la soumission, donc le suicide moral, par l’acception des conditions dictées par les créanciers, soit la mort subite par l’étranglement des banques, donc de l’économie grecque. Pour en sortir, nous n’avons pas d’autre choix que le recours au peuple », résume Georges Katrougalos, ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’État.
Devant cette détermination du gouvernement grec, tous les coups semblent permis pour installer la peur, manipuler le scrutin et dissuader les Grecs de voter « non ». Les termes du chantage exercé par de grandes entreprises pour se rappeler au bon souvenir de leurs salariés dans l’isoloir en témoignent : « Pas de “oui”, pas de salaire lundi. » Les patrons en campagne, prenant prétexte des restrictions bancaires imposées par la BCE, ont tout simplement suspendu le versement des salaires, dans l’attente du verdict des urnes. Les syndicats et l’inspection du travail ont enregistré, ces dernières heures, des centaines de plaintes portant sur des menaces de licenciement en lien avec le référendum, méthode d’une violence inouïe pour des salariés hantés par la crainte du chômage et déjà terriblement fragilisés par la crise. Radio Kokkino, une antenne de gauche, rapporte même le cas d’une entreprise pharmaceutique dont la direction a contraint les salariés à constituer un cortège pour rejoindre, mercredi soir, la manifestation des partisans du « oui », place Syntagma (lire ci-contre). « Ils sont prêts à tout pour faire triompher le plan des banques et de Merkel, s’indigne le directeur de Kokkino, Kostas Arvanitis. Les institutions ne veulent pas d’un accord, elles veulent avant tout faire tomber le gouvernement Tsipras. Ils n’ont pas peur de Marine Le Pen, mais ils ont peur de la Grèce démocratique ! » Hier, en dépit de toutes ces pressions, les sondages donnaient au « non » une large avance.
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01/07/2015
L'accord sur les services : WikiLeaks publie l'avant projet
à lire sur MEDIAPART :
L'accord sur les services (TISA) est le complément du traité transatlantique. Sans WikiLeaks, il serait encore secret. Son objet : démanteler toutes les barrières, mettre à terre tous les services publics. WikiLeaks publie un avant-projet discuté en avril 2015.
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30/06/2015
Grèce : comment Joseph Stiglitz voterait dimanche prochain
il voterait NON aux conditions imposées par l'Europe-de-la-concurrence-libre-et-non-faussée
lu sur :
Joseph Stiglitz: how I would vote in the Greek referendum | Business ...
extrait :
It is hard to advise Greeks how to vote on 5 July. Neither alternative – approval or rejection of the troika’s terms – will be easy, and both carry huge risks. A yes vote would mean depression almost without end. Perhaps a depleted country – one that has sold off all of its assets, and whose bright young people have emigrated – might finally get debt forgiveness; perhaps, having shrivelled into a middle-income economy, Greece might finally be able to get assistance from the World Bank. All of this might happen in the next decade, or perhaps in the decade after that.
By contrast, a no vote would at least open the possibility that Greece, with its strong democratic tradition, might grasp its destiny in its own hands. Greeks might gain the opportunity to shape a future that, though perhaps not as prosperous as the past, is far more hopeful than the unconscionable torture of the present.
I know how I would vote.
Joseph E. Stiglitz, a Nobel laureate in economics
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28/06/2015
«Pour la souveraineté et la dignité du peuple grec» (Alexis Tsipras, Athènes, samedi 27 juin 2015)
communiqué :
Pour la souveraineté et la dignité de notre peuple. »
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22/06/2015
Action en justice contre la construction d'une gare TGV à La Mogère
communiqué :
Une action en justice va être lancée par deux associations du "collectif contre une deuxième gare à Montpellier" contre le décret gouvernemental autorisant un partenariat public privé (PPP) entre la SNCF et le promoteur immobilier Icade pour la construction d'une gare TGV à La Mogère (dossier complet sur le site :
Une souscription est organisée pour payer un cabinet d'avocats. La demande de financement participatif est de 6000 €
19:09 Publié dans Actualités, démocratie, Société, transports | Lien permanent | Commentaires (0)
20/06/2015
Le projet de ligne grande vitesse Montpellier – Perpignan : à combattre !
communiqué :
AGGLO THAU -
Projet de ligne grande vitesse Montpellier – Perpignan Une lourde erreur
« L’Observatoire du Pays de Thau » confirme qu’il reste très préoccupé par le projet LGV pour lequel la SNCF, le Conseil Régional et d’autres font le forcing
à lire sur :
extraits :
« L’Observatoire du Pays de Thau » confirme qu’il reste très préoccupé par le projet LGV pour lequel la SNCF, le Conseil Régional et d’autres font le forcing.
Au demeurant, le Conseil Régional Languedoc Roussillon, à travers son représentant à la réunion récente de Poussan, a montré, à l’instar du dossier « Hinterland », qu’il avait l’art de soutenir des projets sans se soucier de l’environnement.
Les informations données par la SNCF sur le trajet sont consternantes : abimer encore un peu plus le Massif de la Gardiole, ériger un viaduc de 30 mètres de haut sur le site historique d’Issanka, passer à proximité de l’étang de Thau, zone vulnérable, s’il en est, aux herbicides épandus le long des voies, …
Oui, nous défendons fermement, sur notre coin de Languedoc, la qualité de l’eau, la faune, la flore. Pourquoi élaborer des Plans de gestion couteux quand on voit ce qu’il en advient ?
...
Et qu’on ne nous dise pas qu’il s’agit de l’intérêt général !
La cour des comptes, dans un rapport d’octobre 2014, a clairement posé ce qu’était aujourd’hui le TGV : très cher et peu cohérent. De plus, l’utilisation de cette nouvelle voie pour les marchandises parait aléatoire.
Le maillage de chemin de fer en France est sacrifié, les trains Intercités sont trop souvent supprimés. Le « tout autocar » préconisé maintenant est-il une solution sur nos routes encombrées et dangereuses ? Certainement pas.
Mais le projet TGV est effarant avec la construction de la gare de la « Mogère » à l’extérieur de Montpellier. Ainsi, par exemple, à terme, les usagers du bassin de Thau devront prendre le TER à Sète puis le tramway, de Saint Roch à la Mogère, ligne qui n’est pas encore prévue dans les cartons ! Est-il convenable de gagner un quart d’heure à Très Grande Vitesse et de perdre une heure dans la recherche du parking ? les correspondances ?
...
Et nos élus locaux ?
Ils se sont empressés (pas tous !) de donner leur accord.
Avaient-ils tout mesuré ? Sans doute pas. Certains paraissent gênés maintenant.
Ils peuvent encore se ressaisir, d’autant que la plupart ont donné leur accord sans consulter la population.
...
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15/06/2015
Écrans, santé et intérêts économiques.
lu dans la revue de presse de l'INSERM :
Selon Michel Desmurget, chercheur à l’Inserm spécialisé en neurosciences cognitives, les écrans ont un impact « sur l’agressivité, l’anxiété, les préjugés sexistes ou les troubles du sommeil ». Il estime, dans un entretien accordé au Figaro, que trouver des vertus aux écrans est lié à des intérêts économiques.
Le Figaro, 15/06
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08/06/2015
Société et notion d'Humanité
Société et notion d'Humanité :
Les anglo-saxons et les latins ont décidément des mentalités différentes. Pour s'en convaincre, il suffit de réfléchir à la façon dont les empires coloniaux anglo-saxons (Amérique du Nord et Canada, Inde, Afrique, Australie, Nouvelle-Zélande) et latins (Afrique, Asie, Amérique du Sud, Madagascar, colonisés par la France, le Portugal, l'Espagne) ont évolué.
Pour les anglo-saxons, les seuls pays ayant échappé à une colonisation permanente sont ceux où la population était trop nombreuse pour être exterminée.
Pour les anglo-saxons, il est clair que la Force prime le Droit. Nous ne devons pas perdre de vue cette réalité dans l'évolution de notre société et les rapports politiques que nous avons avec eux, en particulier ceux ayant trait à des règles commerciales.
Voici deux articles lus dans The Guardian : l'un aujourd'hui, 6 juin 2015, l'autre le 5 avril dernier.
Myall Creek: here, in 1838, a crime that would not be forgotten took ...
Paul Daley
Remembering is central to healing the pain of injustice and atrocity. Indigenous Australians have a way of remembering, the good and the bad, through oral history and art that passes memories down through the generations.
I know of parts of central west New South Wales where the Indigenous women still talk in vivid detail about their ancestors who died after eating the bread, carefully laced with strychnine, that some of the settlers left outside the kitchens for them. They still talk also about the Wiradjuri warrior Wyndradyne, and his battles around Bathurst with the colonial soldiers and settlers, as if his death happened yesterday rather than 190 years ago.
Closer to my home in Canberra the Indigenous people of the district – the Walgalu-speaking Ngambri and Ngurmal, the Wallabalooa and the Cookmai of the Ngunnawal language group – can still tell you all about the pioneering families whose properties are stained with Indigenous blood and stories of violent reprisal and murder.
A wound can’t properly heal unless its cause is properly identified. To know our history – ancient and recent – is to know who walked before us and made our country what it is. It is to know ourselves.
This weekend people from all over Australia, black and white, will converge on Myall Creek – a tiny place with two overgrown tennis courts and a memorial hall – that you’d hardly call a town in a small part of north-west NSW known evocatively, given its violent history, as New England. Here in 1838 a group of stockmen killed 28 unarmed Wirrayaraay old men, women and children.
The Myall Creek Massacre, as it came to be known, was not the first of the hundreds, perhaps thousands, of such crimes that unfolded across the colonial frontier between the first inhabitants, soldiers, settlers, vigilante groups and Indigenous “black police”. The last is commonly regarded to have been at Coniston, Northern Territory, in 1928 – notwithstanding the countless other acts of extreme violence (including custodial deaths) inextricably linked to colonialism, that have since been perpetrated against Indigenous Australians.
But Myall Creek is unique: it is the only massacre on the colonial or post-colonial frontier where non-Indigenous murderers of Aboriginal or Torres Strait Islander people have been convicted. Seven of the killers hung. Myall Creek was also instrumental for killers of blacks – a lesson that spread across the continent like a Mallee wildfire: cover your tracks by properly disposing of the bodies; leave no witnesses.
In 2000, when the first of what are now annual June long-weekend commemorations at Myall Creek took place, descendants of victims and killers united in an act of mutual apology and forgiveness.
Every year at Myall Creek since 2000 it’s been the same: sorrow and forgiveness.
In 2008 the then prime minister Kevin Rudd delivered an apology to the “stolen generation”. Freighted in legality, it stopped well short of the far wider, general, national apology that the colonial violence against this continent’s Indigenous people demands from both contemporary British and Australian governments.
The Myall Creek apology stands as an evocative metaphor for that unfulfilled national need.
As NSW Labor politician Paul Lynch has said : “There was some discussion at the [2013] event of the concept of Myall Creek being developed nationally in the form of an apology for all the massacres. One would have thought that that would be a necessary preliminary to constitutional recognition of Aboriginal people.”
Indeed.
Graeme Cordiner, a member of the national committee of Friends of Myall Creek, which promotes the yearly commemoration, says: “At Myall Creek there’s been an apology – and a national apology of that sort is, of course, the unfinished ‘sorry’ business of this country. Amid the talk of constitutional recognition and even treaty, we as a nation should apologise for the way the continent was taken.”
Unfortunately, plenty of Australians might prefer to advocate moving on from the past.
Noel Pearson, prime minister Tony Abbott’s foremost seer on most Indigenous matters, recently challenged Aboriginal and Torres Strait Islander Australians to get over their traumatic history much, as he claimed, that Holocaust survivors had. Reactionaries, predictably, applauded.
Pearson’s critics – and I’m happy to back them on this – naturally stress that commemorations and apologies for the great crime of the Holocaust are, appropriately, perpetual. There have been legal reparations, insufficient of course, but symbolically incisive.
John Maynard, an Indigenous history professor who is currently researching Aboriginal servicemen, will give a guest speech at Sunday’s Myall Creek commemoration.
I asked Maynard, grandson of the early Indigenous activist Fred Maynard, what importance he attached to commemorating events like Myall Creek. He says: “It seems a strange and hypocritical contradiction that some black and white politicians tell us we need to ‘move on’ and not dwell upon the frontier wars of the past whilst at the same time we are saturated with ‘Lest We Forget’ Gallipoli – a failed (allied, including Australian) invasion of another peoples’ country. Myall Creek and Coniston are two of the more prominent Aboriginal massacre sites and as such stand as markers not just for the horrific crimes that took place at these locations but reflect additionally the multitude of silences that remain across the wider continent.
“I think for me having the honour to speak at the Myall Creek Memorial this year I will certainly reflect not just on those who lost their lives at that site but use the location and day to remember all of those who lost their lives in places forgotten, missed and purposefully erased from both memory and the record.”
And that’s why remembering matters.
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Société et Humanité : les anglo-saxons sont décidément différents des méditerranéens gréco-latins 05 AVRIL 2015
J'ai lu l'article suivant le 4 avril 2015, sur "The Guardian" : (Les guatémaltèques délibérément contaminés par des agents pathogènes de maladies sexuellement transmissibles poursuivent l'université Johns Hopkins en justice)
Guatemalans deliberately infected with STDs sue Johns Hopkins ...
Lawsuit with 800 plaintiffs seeks damages for individuals, spouses and children of people deliberately infected with STDs through US government programme Nearly 800 plaintiffs have launched a billion-dollar lawsuit against Johns Hopkins University over its alleged role in the deliberate infection of hundreds of vulnerable Guatemalans with sexually transmitted diseases, including syphilis and gonorrhoea, during a medical experiment programme in the 1940s and 1950s.
The lawsuit, which also names the philanthropic Rockefeller Foundation, alleges that both institutions helped “design, support, encourage and finance” the experiments by employing scientists and physicians involved in the tests, which were designed to ascertain if penicillin could prevent the diseases.
Researchers at Johns Hopkins School of Medicine held “substantial influence” over the commissioning of the research program by dominating panels that approved federal funding for the research, the suit claims.
The lawsuit asserts that a researcher paid by the Rockefeller Foundation was assigned to the experiments, which he travelled to inspect on at least six occasions.
The suit also claims that predecessor companies of the pharmaceutical giant Bristol-Myers Squibb supplied penicillin for use in the experiments, which they knew to be both secretive and non-consensual.
The experiments, which occurred between 1945 and 1956, were kept secret until they were discovered in 2010 by a college professor, Susan Reverby. The programme published no findings and did not inform Guatemalans who were infected of the consequences of their participation, nor did it provide them with follow up medical care or inform them of ways to prevent the infections spreading, the lawsuit states.
Orphans, prisoners and mental health patients were deliberately infected in the experiments.
The plaintiffs case quotes the correspondence from one of the programme’s lead researchers who tells another doctor that if it were discovered by “some goody organization” that the programme was testing people who were mentally ill it would “raise a lot of smoke”. The manager continues: “I see no reason to say where the work was done and the type of volunteer.”
Baltimore-based attorney for the plaintiffs Paul Bekman told the Guardian that of the 774 claimants, about 60 were direct survivors of the programme. Many have died as a result of deliberate infection and others had passed on disease to family members and partners.
“The people who are responsible [for carrying out the research] now are long dead,” said Bekman “But the records are there, and we have detailed documentation that supports the allegations in our complaint.”
Marta Orellana was a nine-year-old orphan when she was included in the experiments. In an interview with the Guardian in 2011 she recalled being forcibly examined by light-complexioned foreigners and a Guatemalan doctor in the orphanage infirmary.
“They never told me what they were doing, never gave me a chance to say no,” Orellana said “I’ve lived almost my whole life without knowing the truth. May God forgive them.”
Included within the legal claim are graphic descriptions of some of the methods used by the researchers to infect their subjects :
During the experiments, the following occurred:
- Prostitutes were infected with venereal disease and then provided for sex to subjects for intentional transmission of the disease;
- Subjects were inoculated by injection of syphilis spirochaetes into the spinal fluid that bathes the brain and spinal cord, under the skin, and on mucous membranes;
- An emulsion containing syphilis or gonorrhoea was spread under the foreskin of the penis in male subjects;
- The penis of male subjects was scraped and scarified and then coated with the emulsion containing syphilis or gonorrhea;
- A woman from the psychiatric hospital was injected with syphilis, developed skin lesions and wasting, and then had gonorrhoeal pus from a male subject injected into both of her eyes and;
- Children were subjected to blood studies to check for the presence of venereal disease.
The then secretary of state Hillary Clinton apologised for the programme in 2010 after a presidential bioethics commission investigation found the experiments “involved unconscionable basic violations of ethics”.
A federal lawsuit for damages under the Federal Tort Claims Act failed in 2012 after a judge determined the US government cannot be held liable for actions outside the United States. Bekman told the Guardian he believed the new lawsuit stood a greater chance of success as it was lodged in the state court of Maryland and against private entities.
Both Johns Hopkins University and the Rockefeller Foundation have vigorously denied any involvement in the experiments.
A spokeswoman for Johns Hopkins School of Medicine said the institute expressed “profound sympathy” for the victims of the experiments and their families, but added: “Johns Hopkins did not initiate, pay for, direct of conduct the study in Guatemala. No nonprofit university or hospital has ever been held liable for a study conducted by the US government.”
The university stated it would “vigorously defend” the lawsuit.
The Rockefeller Foundation issued a detailed response to the claim online, which it described as seeking to “improperly to assign ‘guilt by association’ in the absence of compensation from the United States federal government”.
The statement continued: “In the absence of a connection to the Rockefeller Foundation, the lawsuit attempts to connect the Foundation to the experiments through misleading characterizations of relationships between the Foundation and individuals who were in some way associated with the experiments.”
A spokeswoman for Bristol-Myers Squibb declined to comment.
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sur le même sujet, en 2010 :
Expérimentations: Washington s'excuse auprès du Guatemala
www.lefigaro.fr/.../01003-20101002ARTFIG00344-experimentations- washington-s-excuse-aupres-du-guatemala.php
Dans le cadre d'une étude sur les effets de la pénicilline, des centaines de Guatémaltèques se sont vus inoculer des maladies sexuellement transmissibles entre 1946 et 1948, par des scientifiques américains.
A l'origine de ce scandale, une étude financée par les autorités américaines entre 1946 et 1948 sur les effets de la pénicilline, découverte en 1928. Les scientifiques se demandent alors si l'antibiotique peut non seulement guérir la syphilis mais aussi prévenir la maladie. Comme la législation américaine n'autorise pas à mener de telles expériences sur l'homme, le directeur de cette étude, le médecin John Cutler, la met en place au Guatemala. Les chercheurs vont sélectionner comme cobayes des personnes vulnérables, tels que des malades mentaux. Environ 696 personnes participent à leur insu à cette étude. L'un des patients au moins est mort, sans qu'il soit établi si l'expérience est elle-même à l'origine de son décès. L'étude, qui n'a jamais été publiée, n'a apporté aucun résultat significatif.
«Exposition naturelle»
Les scientifiques, dont les recherches étaient financées par des Instituts américains de la santé, n'auraient pas expliqué en détail leur projet aux responsables guatémaltèques et auraient fait des dons de matériels.Les cobayes ont été traités avec de la pénicilline mais l'étude ne précise pas si cela a suffi à les guérir, affirme Susan Reverby. C'est cette historienne américaine, qui a découvert l'expérimentation et a alerté les autorités américaines.
«Un sombre chapitre de l'histoire de la médecine»
L'étude menée au Guatemala, était «clairement contraire à l'éthique» et «répréhensible», ont dénoncé la secrétaire d'Etat Hillary Clinton et la ministre de la Santé Kathleen Sebelius. «Bien que ces événements aient eu lieu il y a plus de 64 ans, nous sommes révoltées qu'une recherche aussi répréhensible ait pu être menée en invoquant la santé publique», écrivent encore les deux ministres, qui ont lancé une vaste enquête pour déouvrir ce qui s'est passé au Guatemala et examiné les régulations actuelles. Barack Obama a téléphoné à son homologue guatémaltèque et lui transmis «ses plus profonds regrets». Le président américain a aussi «réaffirmé l'engagement inébranlable des Etats-Unis pour que toutes les études médicales menées sur l'homme aujourd'hui remplissent des critères éthiques et juridiques exigeants». Il n'est pas certain que les victimes guatémaltèques puissent demander des dommages et intérêts.
sur le même sujet, on peut lire :
Expérimentation sur la syphilis au Guatemala — Wikipédia
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et aussi :
fr.wikipedia.org/wiki/Frank_Olson
Frank Olson (Naissance le 17 juillet 1910 – mort le 28 novembre 1953) est un scientifique qui travaillait pour l'US Army dans une division top secret (la division ...
Frank Olson - Wikipedia, the free encyclopedia
en.wikipedia.org/wiki/Frank_Olson
Frank Rudolph Olson (July 17, 1910 – November 28, 1953) was an American .... In 1994, Eric Olson had his father's body exhumed to be buried with his mother.
Biography - Murder allegations - Popular culture references - See also
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et à propos de tests de LSD :
Quand la CIA menait des expériences sur des cobayes français, par ...
10:26 Publié dans crime contre l'Humanité, Droits de l'Homme, Éthique, Histoire, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
02/06/2015
Europe de "la concurrence libre et non faussée" : démantèlement de la SNCF
à lire sur le site de MEDIAPART :
En route vers le démantèlement de la SNCF |
PAR MARTINE ORANGE |
Le rapport parlementaire sur les trains interrégionaux n’est pas là pour résoudre la situation honteuse d’une partie des transports ferroviaires. Les transports régionaux sont appelés à « servir de terrain d’expérimentation à l’ouverture à la concurrence », selon lui. À terme, c’est la fin de toute politique d’aménagement du territoire et le démantèlement d’un des derniers services publics français. Pour le seul bénéfice de la route. |
08:21 Publié dans Actualités, démocratie, Europe à 27, Politique, service public, Société, transports, Union Européenne | Lien permanent | Commentaires (0)
27/05/2015
Dix ans après le rejet par les Français, le 29 mai 2005, du projet de Constitution européenne
à lire sur :
De Paris à Madrid, le souffle des «résistances» - LeTemps.ch
Il faut toujours se garder des parallèles historiques. A chaque époque ses combats, ses héros et ses démons. Difficile, pourtant, de ne pas réfléchir, au vu de ...
www.letemps.ch/Page/Uuid/bc6c69aa-0315-11e5-a2d8-d
De Paris à Madrid, le souffle des «résistances»
extrait :
..."Les Indignés européens, ralliés dans des formations comme Podemos en Espagne ou Syriza en Grèce, lancent à travers l’Europe un cri d’alarme qui, en écho à l’inquiétant retour en force des nationalismes, doit être entendu, dix ans pile après le rejet par les Français, le 29 mai 2005, du projet de Constitution européenne. On peut, bien sûr, débattre de l’inconséquence de leurs revendications économiques. Mais il faut reconnaître le souffle de ces résistances-là. Elles sont, avant tout, demandeuses d’espoir, sur fond de chômage et de précarité. Elles produisent, via Internet, de nouvelles formes d’engagement politique. La relève de notre Vieux Continent bousculé passe aussi par elles." ...
12:12 Publié dans Actualités, démocratie, Europe à 27, Histoire contemporaine, néolibéralisme, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
19/05/2015
En ce moment, débat sur le compteur LINKY à l'Assemblée Nationale : écrivez à vos députés.
Pour trouver leurs adresses, allez sur le site de l'Assemblée Nationale :
Accueil > 577 députés
Champs électromagnétiques et santé publique: téléphones portables
Aide-mémoire N°193
Octobre 2014
Principaux faits
- L’usage du téléphone portable est généralisé et on estime à 6,9 milliards le nombre des abonnés dans le monde.
- Les champs électromagnétiques produits par les téléphones portables sont classés par le Centre international de Recherche sur le Cancer dans la catégorie des cancérogènes possibles pour l’homme.
- Des études visant à évaluer plus complètement les effets potentiels à long terme de l’utilisation des téléphones portables sont actuellement en cours.
- L’OMS procédera d’ici à 2016 à une évaluation formelle du risque pour tous les effets sur la santé dus à une exposition à des champs de radiofréquences.
14:55 Publié dans Actualités, démocratie, ondes hertziennes, santé,sciences, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
16/05/2015
Rien n'arrête la bêtise ...
à lire :
Mayan pyramid bulldozed by road construction firm | World ...
A digger claws away at the sloping sides of the Mayan pyramid in Belize. Photograph: Jaime Awe/AP
www.theguardian.com/world/2013/may/14/mayan
17:13 Publié dans Actualités, Histoire, Société | Lien permanent | Commentaires (0)